Il n'y a pas que le nucléaire...

Publié le par Erwin

Dimanche  17 Avril 2011      

 

 

Il n’y a pas que le nucléaire…

 

Bien sûr, la  pollution atomique est la pire, mais il en existe d’autres, il y a la chimique.

Dans le temps tout finissait par être enseveli dans les décharges. Aujourd’hui on les appelle des décharges contrôlées, avant c’était des décharges, point final.

Je me souviens, quand j’étais gamin, nous nous amusions sur la décharge de la Lonza, à Viège, je ne me souviens pas exactement de ce que nous faisions, mais sauf erreur, nous avions découvert une matière qui prenait feu quand nous versions un peu d’eau dessus… chimie… pas de danger...

À Chippis, près de l’usine d’aluminium, nous avions un jardin potager, sur une décharge de l’usine… pas de risques…

Dans notre Jura, à Bonfol, tout proche de la frontière française, les géants suisses de l’industrie chimique avaient enterré tout ce dont ils voulaient se débarrasser. Selon Patrick Nordmann du Vigousse - notre Canard enchaîné à nous - il y aurait là-bas « de la dioxine, en telle quantités que la catastrophe de Seveso est une aimable plaisanterie à côté » !

Et ici, à Monthey, l’industrie chimique avait enterré pas mal de cochonneries également. Une de ces décharges, qui contiendrait plus de 100.000 mètres cubes de déchets spéciaux, n’est pas étanche et va être assainie ces prochaines années. Bien sûr, pour le moment nous ne risquons rien, tout est sous contrôle, mais je crois que je vais quand-même commencer à boire de l’eau minérale en bouteilles…               

 

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Sonntag  17. April 2011

 

 

  Nicht nur die nukleare…

 

Sicher, die atomare Umweltverschmutzung ist die schlimmste,  es gibt aber auch andere, wie die chemische. 

Seinerzeit endete alles, zugedeckt, in den Mülldeponien. Heute nennt man sie schamhaft, die "kontrollierten" Deponien.

Ich errinnere mich, dass wir als Kinder auf einer Deponie der Lonza bei Visp spielten, ich weiss nicht mehr was wir genau machten, aber wir hatten irgend ein Material gefunden hatten, das Feuer fing, wenn wir Wasser darauf leerten... Chemie... keine Gefahr... 

Wir hatten in Chippis, neben der Aluminiumfabrik, einen Gemüsegarten, auf einer Deponie der Fabrik… keinn Risiko…

In unserem Jura, in Bonfol, nahe der französischen Grenze, hatten die Riesen der chemischen Industrie von Basel all dfas beerdigt was sie los werden wollten. Laut Patrick Nordmann vom Vigousse - unser Canard enchaîné - hat es dort "Dioxin in solchen Quantitäten, dass Seveso eine liebliche Spielerei im Vergleich dazu war" !

Auch hier in Monthey hat die chemische Industrie mehr als genug Schweinereien beerdigt. Eine dieser Deponien die mehr als 100'000 Kubikmeter Sonderabfall beinhaltet soll nicht dicht sein und in den nächsten Jahren saniert werden. natürlich riskieren wir absolut nichts, alles ist unter Kontrolle... ich glaube aber, dass ich in Zukunft Wasser aus der Flasche trinken werde... 

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